Les structures protéiques peuvent-elles jouer un rôle dans le textile ?

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À l’image de celui qu’elles ont dans la nature, où elles participent à créer la fonctionnalité et la couleur ?

Les chercheurs étudient ces structures.

Le mimétisme de ces éléments constitutifs de la nature permettrait d’innover et de proposer des produits plus en harmonie avec l’environnement qui nous entoure.

Les protéines et les glucides complexes comme la chitine, la cellulose et la kératine fournissent structure et fonction aux plantes et aux animaux. Ces bio polymères confèrent, au monde du vivant, de précieuses propriétés hydrofuge, de force, de flexibilité, de couleur, ...

@werewool s’en inspire pour l’appliquer au textile !

Des protéines naturelles sont cultivées en laboratoire pour colorer les vêtements.

Les colorants et les procédés de teinture aujourd’hui utilisés seraient remplacés par la combinaison de la protéine au polymère de fibre textile.

La même approche pourrait être également utilisée et élargie à d’autres fonctionnalités.

Un financement de 3,7 M$ va permettre à werewool de poursuivre son développement.

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